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Les atolls d'Ouvéa et Beautemps-Beaupré
Les deux atolls océaniques d’Ouvéa et de Beautemps-Beaupré ont été retenus comme sites pilotes du projet INTEGRE pour la province des Îles Loyauté. Ils font partie, dans leur intégralité, du bien en série «Lagon de Nouvelle-Calédonie » inscrit au Patrimoine mondial de l’UNESCO (zone tampon comprise). Le premier couvre une superficie de 850 km2, le second, plus petit, s’étend sur 120 km2 et présente peu de terres émergées.
Le projet INTEGRE s’est inscrit dans cette dynamique de réseau et visait à appuyer la province des îles Loyauté et ses partenaires dans leurs actions de promotion et de mise en œuvre des dispositifs de gestion intégrée de cette zone côtière d’exception.
Un atelier régional méthodologique a été organisé le 20 mars 2014 avec l’ensemble des partenaires du projet. Une analyse AFOM (Atouts, Faiblesses, Opportunités et Menaces) a été réalisée comme outil de diagnostic et d’aide à la planification du projet.
Cette analyse a contribué à mieux définir la stratégie du projet et à mettre en cohérence les actions. Ainsi, les objectifs retenus spécifiquement pour le projet de site sont les suivants :
- Renforcer et dynamiser le processus de gestion participative du site et la mobilisation des acteurs locaux pour les rendre acteurs de la préservation de leur patrimoine
- Participer à la maîtrise des menaces pouvant impacter le site
- Valoriser le patrimoine naturel et culturel d’Ouvéa au profit de ses habitants, notamment par le développement d’un pôle écotouristique sur le district de Mouli
Géographie :
L’île d’Ouvéa est un grand atoll isolé, ouvert sur l’océan, d’une vingtaine de mètres de profondeur en moyenne qui ne reçoit aucun apport terrigène. En conséquence, le lagon est réputé pour son aspect cristallin. La zone terrestre émergée en continu forme un croissant étranglé et s’étend sur une cinquantaine de kilomètres pour un à six kilomètres de large. C’est une île basse qui culmine à seulement 46 m d’altitude. Chaque extrémité de l’île se prolonge par un chapelet d’îlots : les Pléiades du Sud et les Pléiades du Nord. Le réseau hydrographique est souterrain. L’eau douce circule dans un vaste dédale de cavités karstiques coralliennes. L’île d’Ouvéa est le seul des deux atolls à être habité. Elle accueille une population d’environ 3 400 habitants (recensement 2014) répartis dans 21 tribus. Le foncier est composé exclusivement de terres coutumières. Il n’existe pas de véritable centre urbain, mais le centre administratif et démographique se trouve à Fayaoué.
Biodiversité :
Les atolls d’Ouvéa et Beautemps-Beaupré présentent des originalités biologiques et écologiques. Côté biodiversité terrestre, ils abritent par exemple les seules mangroves et le seul marais des Îles Loyauté. La forêt primaire est assez bien conservée. On y trouve la perruche d’Ouvéa, une petite perruche verte micro-endémique de l’atoll, des bulimes (escargots géants endémiques) et des roussettes. Le littoral est bordé de nombreuses cocoteraies où séjourne le crabe de cocotier. Il accueille également d’importantes colonies d’oiseaux marins (puffins du Pacifique, sternes, fous…). Les Pléiades sont un site de ponte de la tortue verte Chelonia mydas. Les îles sont exemptes d’une espèce envahissante redoutable, le rat noir, mais d’autres prédateurs invasifs comme la souris, le chat haret et le rat du Pacifique y sévissent.
Au niveau de la biodiversité marine, un inventaire de l’Ifremer réalisé pour la préparation du dossier Patrimoine mondial répertoriait 675 espèces de poissons récifaux dont certaines avaient des densités respectables comme le napoléon, les poissons-perroquets, la raie pastenague et les requins. En septembre-octobre, le lagon est le siège d’un rassemblement majestueux de raies mantas birostris. La ciguatera (gratte), une microalgue qui contamine la chair de certains poissons et provoque des intoxications alimentaires, n’est pas présente à Ouvéa et Beautemps-Beaupré.
Economie :
Afin de trouver une offre plus diversifiée et conséquente dans le domaine de l’emploi, de nombreux Ouvéens émigrent vers le Grand Nouméa. Malgré cet « exode » (ils reviennent régulièrement pour travailler les champs et participer aux fêtes coutumières), l’enrichissement de ces « expatriés » bénéficie indirectement à l’île puisqu’ils pratiquent largement la redistribution en investissant à Ouvéa (construction d’habitations, achat de voitures…).
Concernant l’économie directe de l’île, le tertiaire (santé, enseignement, administration, commerce), l’agriculture, le tourisme et la pêche constituent les principaux moteurs de l’activité.
- Le tourisme s’appuie sur quelques hébergements, un grand hôtel et plusieurs petites structures d’accueil en tribu. Ouvéa a cessé d’accueillir des croisiéristes en 2007 après le constat de trop gros dommages sur les récifs occasionnés par les ancres des navires et en raison du risque important de diffusion et de développement de la gratte dans l’atoll.
- La pêche est organisée autour d’un syndicat des pêcheurs qui comptabilise une quinzaine de licences professionnelles. La filière se structure autour d’une unité de conditionnement des produits de la mer à Takedji, au nord de l’île. Les poissons provenant des atolls d’Ouvéa et Beautemps-Beaupré sont dépourvus de gratte.
- La polyculture extensive tend à se spécialiser vers des produits à haute valeur ajoutée : le santal, le coprah avec une huilerie et la savonnerie de Wadrilla et des vanilleraies.
Pressions environnementales :
Plusieurs menaces compromettent la qualité environnementale d’Ouvéa et Beautemps-Beaupré:
- L’érosion du littoral liée aux aménagements côtiers et au prélèvement de matériaux coralliens (sable, débris coralliens, catcha) pour les constructions humaines et les aménagements ;
- La présence d’espèces envahissantes qui créent des dommages sur la faune indigène ou les cultures. Les contrôles sanitaires sur les voies d’accès aux atolls sont un enjeu primordial afin d’éviter l’introduction de nuisibles supplémentaires (notamment le rat noir) ;
- La surexploitation localisée de ressources vivrières et des pratiques de pêches inadaptées. Il n’existe pas à ce jour d’aire marine protégée, mais huit réserves coutumières traditionnelles ont été recensées avec une réglementation traditionnelle (lieux tabous…) ;
- Les déchets, source de pollution et de désagrément, ne font pas l’objet d’une gestion et d’une évacuation efficaces ;
- La déforestation et la dégradation des habitats forestiers. Ouvéa est mal dotée en matière de lutte contre les incendies.
Dispositifs locaux :
Le service de l’environnement de la province des Îles Loyau-té (PIL) est l’administration qui a la charge de la gestion du domaine environnemental. En 2007, la PIL et les coutumiers d’Ouvéa ont signé « La déclaration commune » afin de reconnaître leur légitimité réciproque pour agir communément à la préservation du bien inscrit au Patrimoine mondial. Les coutumiers se sont structurés en 2009 en groupement de droit particulier local (le GDPL Bomene Tapu-l’île sacrée), une structure juridique qui organise le développement sur terres coutumières.
Ce GDPL compte 34 membres. Sa vocation est de « mettre en valeur et sauvegarder les pratiques relevant de la gestion traditionnelle des ressources naturelles d’Ouvéa et Beautemps-Beaupré en ce qu’elles constituent des modes de protection et conservation durable des ressources naturelles dans l’intérêt des populations actuelles et à venir ». C’est donc sur cette base que l’institution publique travaille à la cogestion du site.
L’ONG Conservation International a apporté son appui pour élaborer le mode de gouvernance ainsi que le plan de gestion qui court désormais sur cinq ans (2012-2017) avec un réajustement annuel des actions à mener.
Cette cogestion s’appuie sur des groupes techniques auxquels sont associés l’ensemble des acteurs publics et privés. Ils sont chargés de mettre en œuvre, selon une dynamique participative, les actions du plan de gestion par le biais des acteurs présents sur place ou en faisant appel à des compétences extérieures avec un objectif d’autonomisation.
Un atelier régional méthodologique a été organisé le 20 mars 2014 avec l’ensemble des partenaires du projet. Une analyse AFOM (Atouts, Faiblesses, Opportunités et Menaces) a été réalisée comme outil de diagnostic et d’aide à la planification du projet. Elle est présentée ci-dessous :
Pour atteindre ces objectifs, un plan d’action a été construit et s’articulait autour de cinq activités principales.
Activité 1 : Renforcer la gouvernance et la gestion participative des lagons d'Ouvéa-Beautemps-Beaupré
Il s’agissait de rendre plus efficace le fonctionnement du comité de cogestion, d’améliorer sa capacité d’action et de l’aider à mettre en œuvre son plan de gestion. Un animateur a été recruté et a conduit sa mission pendant toute la durée du projet INTEGRE. Cette mission consistait notamment à mettre en place une surveillance mixte du lagon entre la PIL et les pêcheurs professionnels et à renforcer le suivi participatif des récifs.
Montant prévisionnel : 29.5 Mxpf / 247 210 €
Opérateurs : PIL, GDPL Bomene Tapu, syndicat des pêcheurs
Pour plus de détails, consulter la fiche activité
Activité 2 : Structurer un pôle de développement éco-touristique dans le district de Muli et mettre en valeur son patrimoine naturel et culturel
Il s’agissait de réaliser divers aménagements touristiques tels un sentier terrestre de découverte, une aire de pique-nique, un sentier sous-marin, des panneaux de sensibilisation et réglementation…
Montant prévisionnel : 20 Mxpf / 167 600 €
Opérateurs : PIL, GDPL Bomene Tapu, syndicat des pêcheurs
Pour plus de détails, consulter la fiche activité
Activité 3 : Organiser la gestion de la réserve coutumière de Lekiny-Fayava
Transcrite dans le Code de l’environnement de la PIL, cette réserve constituait un site pilote pour la mise en place des nouvelles dispositions prévues dans ce code : mise en place de comités de gestion locaux et élaboration d’un plan de gestion. Par ailleurs, des études ont été menées pour caractériser l’érosion du trait de côte et améliorer l’aménagement des zones d’arrière-mangrove.
Montant prévisionnel : 7,2 Mxpf / 60 336 €
Opérateurs : PIL, GDPL Bomene Tapu, tribu de Lekiny, Université de la Nouvelle-Calédonie, Museum d’Histoire naturelle
Pour plus de détails, consulter la fiche activité
Activité 4 : Lutter contre les espèces envahissantes
Il s’agissait de réaliser la dératisation d’un îlot test pour diminuer la menace qui pesait sur les colonies d’oiseaux marins et d’élaborer une mission d’expertise internationale permettant de renforcer la biosécurité d’Ouvéa.
Montant prévisionnel : 1,8 Mxpf / 9 504 €
Opérateurs : ASBO, PIL, GDPL Bomene Tapu
Pour plus de détails, consulter la fiche activité
Activité 5 : Créer un fond d’outils pédagogiques pour sensibiliser la population à la protection du lagon en s’appuyant sur des outils existants et d’en élaborer de nouveaux, adaptés aux spécificités d’Ouvéa et Beautemps-Beaupré
Il était prévu d’autre part un accompagnement de projets scolaires autour de la protection du lagon.
Montant prévisionnel : 4.5 Mxpf / 37 710 €
Opérateurs : PIL, GDPL Bomene Tapu, GIE, écoles et collège
Pour plus de détails, consulter la fiche activité
Synthèse des activités prévues sur le site :
Le projet INTEGRE a poursuivi les objectifs suivants :
- Maintenir l’intégrité des sites inscrits au Patrimoine mondial de l’UNESCO
- Dynamiser le processus de gestion participative et mobiliser plus efficacement les acteurs locaux
- Contribuer au développement durable des sites et participer à la maîtrise des menaces d’origines anthropiques
Sur le site des atolls d'Ouvéa et Beautemps-Beaupré, le bilan des activités est le suivant :
- NC – C2I1 et 5 : Renforcement de la gestion participative / sensibilisation et communication
Si toutes les actions prévues n’ont pas été réalisées, en matière de sensibilisation ou concernant le partenariat avec les pêcheurs, la dynamique participative de la gestion du site Patrimoine Mondiale a été très largement renforcée. L’arrivée de deux ressources humaines supplémentaires et l’engagement de tous les acteurs (provinces, associations, mairies) a permis la réalisation d’actions concrètes de gestion, de suivi ou de sensibilisation.
La pérennisation de ce dispositif devrait permettre de poursuivre cette dynamique. Il sera cependant très important que la province des îles s’investisse plus dans le cadrage stratégique et de projet, auprès du GDPL notamment.
Pour plus de détails, consulter la fiche de synthèse : NC - C2.I1 et 5 Renforcement de la gestion participative - sensibilisation et communication
- NC – C2I2 : Structuration d'un pôle de développement écotouristique dans le district de Muli
Le résultat de cette activité est décevant. Il est en grande partie dû aux retards pris dans sa mise en œuvre qui s’expliquent par la faible capacité de la province des îles Loyauté à absorber une importante charge de travail supplémentaire. Cet élément est à prendre en compte pour les futurs projets qui seront réalisés avec de petites administrations.
De plus, sur Ouvéa plus qu’ailleurs, le travail préparatoire aux aménagements est conséquent, les coutumiers et « propriétaires des lieux » devant préalablement donner l’autorisation pour leur réalisation (nous sommes à Ouvéa sur des terres coutumières). C’est pourquoi le travail a été mené de manière conjointe avec la province des îles Loyauté et le GDPL, mais le manque de temps pour les discussions et obtenir les accords a pénalisé le projet de sentier terrestre. Comme l’indiquait un représentant de la province des iles à l’atelier de clôture d’INTGERE, le temps du projet européen n’est pas le temps des coutumiers et des locaux…
La direction de l’économie intégrée de la province des iles Loyauté va prendre le relais sur le développement du pôle écotouristique. Elle a fait valider le financement pour la réalisation de nouveau sentier sur l’enveloppe des contrats de développement et le financement d’un local pour le matériel du sentier sous-marin. De plus la direction jeunesse et sports s’occupe de la formation des guides sous-marins pour le sentier sous-marin.
Pour plus de détails, consulter la fiche de synthèse : NC - C2.I2 Structuration d'un pole de développement écotouristique dans le district de Muli
- NC – C2I3 : Gestion de la réserve naturelle de Lekiny-Fayava
L’adoption du code de l’environnement par la province des îles Loyauté est un processus qui mobilise énormément le service de l’environnement, accentué par le choix d’une méthodologie concertée avec les habitants des quatre îles de la province. Le retard est donc très important au regard des estimations de départ concernant la reconnaissance officielle d’une réserve à Lekiny et la mise en place de son plan de gestion.
L’érosion côtière constitue une préoccupation majeure de la population d’Ouvéa car elle menace directement certains secteurs habités. De plus, sur Ouvéa, le foncier est intégralement de statut coutumier, ce qui signifie que les règles d’urbanisme ne s’y appliquent pas et que les décisions d’aménagement sont prises directement au niveau des tribus. Le travail de Matthieu Leduff, mené en partenariat avec la mairie, les coutumiers et les associations de l’île, a permis de donner des outils de compréhension des phénomènes d’érosion à la population et aux décideurs. Il sera poursuivi avec l’appui financier de la province des îles et l’appui technique de l’Université et de la DIMENC à travers le dispositif OBLIC (Observatoire du littoral calédonien) et en s’appuyant sur un réseau de personnes maintenant formées. Tous les acteurs sont convaincus de l’utilité de ce travail. Cependant, sans animateur comme Matthieu, il y a un risque d’essoufflement.
Pour plus de détails, consulter la fiche de synthèse : NC - C2.I3 Gestion de la reserve naturelle de Lekiny-Fayava
- NC – C2I4 : Lutte contre les espèces envahissantes
Ces deux actions ont bénéficié de la bonne implication et implantation de l’ASBO, association locale qui a pour principe de faire travailler des guides locaux pour la réalisation de ses actions, conjuguant ainsi protection de l’environnement, sensibilisation et développement local.
Pour la mise en œuvre du plan de biosécurité, qui bénéficie d’un bon portage technique et politique de la part de la province des îles Loyauté, il sera nécessaire de créer un poste d’animateur de ce plan à la PIL. Les possibilités financières de la province sont faibles aujourd’hui et la mise en œuvre de ce plan est encore en suspens.
Pour la dératisation de l’atoll, plusieurs facteurs peuvent expliquer l’échec mais il faut d’abord retenir que ce sont des opérations difficiles en milieu tropical où les rats se reproduisent toute l’année. Un nouveau plan opérationnel a été proposé mais il faut des moyens financiers importants.
La pérennisation de ces deux activités n’est pas encore garantie. Pour poursuivre le travail remarquable mené par l’ASBO pour la dératisation de BB, des fonds devront à nouveau être mobilisés pour entreprendre un nouvel essai de dératisation en 2018. Le 11ème FED pourrait être une source de financement possible
Pour plus de détails, consulter la fiche de synthèse : NC - C2.I4 Lutte contre les espèces envahissantes
Documents Nouvelle-Calédonie
Plan de biosécurité pour l'atoll d'Ouvéa, île Loyauté (Nouvelle-Calédonie)
Biosecurity Plan for Ouvea Atoll, Loyalty Islands, New Caledonia
Poster Poissons du lagon d'Ouvéa
Poster Poissons du récif d'Ouvéa
Poster Autres animaux marins d'Ouvéa
NC - Fiches de synthèse
NC - C2.I1 et 5 Renforcement de la gestion participative - sensibilisation et communication
NC - C2.I2 Structuration d'un pole de développement écotouristique dans le district de Muli
NC - C2.I3 Gestion de la reserve naturelle de Lekiny-Fayava
NC - C2.I4 Lutte contre les espèces envahissantes
NC - Sentier pédestre pédagogique et touristique
NC - Mesures de lutte contre l'érosion - Ouvéa
NC - Collecte des savoirs traditionnels - Réserve de Lekiny-Fayava
NC - Plan de biosécurité - Etude de faisabilité sur l'éradication des rats sur l'ile de Beautemps-Beaupré
Plan de biosécurité pour l'atoll d'Ouvéa, îles Loyauté (Nouvelle-Calédonie)
Biosecurity Plan for Ouvea Atoll, Loyalty Islands, New Caledonia
Protocole de l'éradication du rat du Pacifique sur Beautemps-Beaupré
Evènements NC
- 19.12.17
Sortie du guide d'identification et suivi des tortues marines
Le projet INTEGRE a permis de financer, avec le soutien de l'Union européenne, le guide d'identification et suivi des tortues marines.
- 21.11.17
Semaine de formation aux écosystèmes calédoniens terrestres et marins et à la communication environnementale
Le Conservatoire d’Espaces Naturels de Nouvelle-Calédonie a organisé, avec le soutien d’INTEGRE, une semaine de formation à l’attention des comités et association de gestion patrimoine mondial.
- 10.10.17
Une délégation calédonienne de professionnels des déchets s'est rendue en Nouvelle-Zélande pour étudier les filières de traitement des déchets dangereux
Une délégation calédonienne de professionnels des déchets s'est rendue en Nouvelle-Zélande du 24 au 28 Juillet 2017 pour étudier les filières de traitement des déchets dangereux.